Tony Abramson a publié un intéressant petit opuscule "Stycas Simplified" (publié en 2012 chez Spink et qui remet beaucoup de choses "à plat") dont j'ai commencé une traduction perso. Copyright Tony Abramson.
Ci-après un très court extrait du début de ma traduction (sans doute très imparfaite malgré l'aide de DeepL) :
Les normes d'alphabétisation varient et les légendes comme leurs caractères individuels apparaissent avec des écritures, langues et aspects différents.
A l'avers, le titre du monarque ou de l'archevêque peut être abrégé ou omis.
A l'avers et au revers, les légendes peuvent :
1) être écrites dans le sens des aiguilles d'une montre, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre ou dans les deux sens (l’avers dans un sens, le revers dans le sens opposé) ;
2) commencer par une croix, une croix de type sautoir ou ne pas avoir de marque initiale ;
Les légendes en tout ou en partie, et leurs lettres, peuvent être :
3) d’écriture romaine, runique ou anglo-saxonne ;
4) écrites vers l'intérieur (haut des lettres vers le bord) ou vers l'extérieur (haut des lettres vers le centre) ;
Les caractères peuvent être également :
5) rétrogrades, minuscules, ligaturés ou dégradés et en partie hors champ.
Ainsi, un caractère individuel, en fonction de sa symétrie, peut apparaître dans différents alphabets, sous quatre formes :
écrit dans le sens direct ou inverse des aiguilles d'une montre et écrit pour être lu du côté intérieur ou extérieur de la monnaie.
Les lettres plus symétriques, telles que I ou H, sont évidemment moins sujettes à ces variations.
Dans la toute première édition du British Numismatic Journal (1904, pages 65-96), le major A. B. Creeke énumère, littéralement page après page, les centaines de variations dans les noms des émetteurs et des monnayeurs...